A escravatura nunca foi realmente abolida no mundo árabe mas teve nestes últimos anos uma retoma como nunca se vira. Os negros africanos voltam a fazer a fortuna de árabes e até de europeus! As milícias líbias são o grande agente do novo mercado de escravos e acumulam fortunas de milhões e milhões de euros e de dólares que ganham a “dois carrinhos”, como mais abaixo se mostra.
O vídeo, que acompanha este post, é uma veemente denúncia desta retoma da escravatura com a cumplicidade dos “bem-pensantes” politicamente correctos desta Europa germanizada.
La Libye est l’un des principaux marchés aux esclaves
Comme au 17° siècle, les noirs Africains recommencent à faire la richesse de certains Arabes et Européens. Les milices libyennes se font des millions et des millions de dollars de cette façon. Ils prennent de l’argent des deux côtés, aux Africains qui se précipitent en Europe au départ de leurs pays ravagés, et aux Européens qui payent les milices pour arrêter les réfugiés.
L’homme qui a été pris dans la vidéo avec un fouet à la main, le chef d’un gang brutal d’esclavagistes, est un ancien rebelle contre le «sanglant dictateur» Mouammar al-Kadhafi, un ami de la démocratie et des valeurs européennes, qui s’appelle Abd-al-Rahmanal-Milad, un commandant de garde-côtes. Les chaloupes dans lesquelles il expédie les Africains en Europe, il les achète avec de l’argent européen. Bruxelles en paye 200 millions d’euros par an, mais les esclaves rapportent encore plus.
Les Européens apprécient Milad: il y a un an, il avait été invité à un cours de remise à niveau à Rome, où il avait passé un mois fructueux dans un hôtel haut de gamme aux frais de l’Union européenne.
Le rival de Milad, Al-Dabbashi, envoie, lui, des bateaux la nuit à partir des plages. Les compétiteurs retirent leurs moteurs aux bateaux des concurrents, et livrent les réfugiés au naufrage au large. Le roulement est impressionnant: un million et demi de noirs ont traversé la Libye sur leur trajet vers l’Europe, des milliers sont morts en route, mais le gisement humain ne tarit pas. D’autres militants libyens, qui avaient libéré leur patrie du sanguinaire Kadhafi, opèrent à l’arrière, et convoient des dizaines de milliers d’Africains à travers le Sahara jusqu’en Libye, pour de nouveaux marchés aux esclaves et pour l’Europe.
Les ONG européennes remorquent les canots pneumatiques chargés de migrants envoyés par Milad, les font monter à leur bord et les débarquent en Europe, en empochant un bénéfice tout à fait correct. Ces «sauveteurs» coopèrent directement avec Milad et avec d’autres esclavagistes, ils reçoivent des instructions précises des «expéditeurs» sur l’endroit où il faut aller chercher les rafiots, et se servent une tranche considérable du gâteau. Ils perçoivent des subventions et des dons des Européens au grand cœur, qui ne comprennent pas qu’ils se font manipuler par des esclavagistes.
Ce négoce a été florissant pendant plusieurs années, sans encombre, jusqu’au jour où les Italiens en ont eu assez …
Les images d’enfants ça suffit!
Exclusivo Tornado / IntelNomics
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