Para poder continuar a vender Volkswagens no mercado chinês, Merkel não hesitou em entregar a Xi Jinping numa bandeja todo o espaço dos 27 desta União Europeia germanizada…
Com este “testamento estratégico” assinado em Dezembro passado, nos últimos dias da sua última presidência europeia, Merkel vende a Europa a Pequim por um prato de… automóveis. É a última grande golpada da mulher que veio do frio e inverteu a fórmula em vigor até ao seu longo e infeliz ‘reinado’: da europeização da Alemanha passou-se à germanização de uma Europa que começou por ser sacrificada no altar do Deutsche Bank e acaba no altar da Volkswagen…
Até os “federalistas” consideram que a ‘imperatriz’ passou das marcas e ultrapassou todas as ‘linhas vermelhas’!
Le legs d’Angela Merkel: La Chine en héritage…
Les Européens n’ont pas mesuré les conséquences de l’accord du 30 décembre entre la Chine et l’Europe, en réalité entre Xi Jinping et la Chancelière, Présidente tournante de l’Union européenne.
Sur le départ, Angela Merkel «a voulu offrir ce succés à l’industrie allemande et aux milieux d’affaires»: normaliser et rassurer leurs «investissements», seul volet de l’accord de libre échange qui implique «la réciprocité».
Mais c’est au nom de la «réciprocité» que les investissements chinois, en Europe, seront libres de choisir leurs proies.
Le gouvernement allemand l’a si bien compris, qu’une nouvelle loi, de 2020, permet de «filter» les rachats étrangers, si une participation atteint 10% de la societé.
Ce même gouvernement se propose d’élargir la liste des secteurs à protoger contre une O.P.A hostile, provenant de l’extérieur de l’U.E.
Mais si la R.F.A se «blinde», et elle en a les moyens, les partenaires européens de Sud et de l’Est de l’Union ne sont pas en capacité de refuser les bons offices et l’entrée au capital, par une puissance hégémonique et prédatrice.
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